Robespierre, derniers temps. La littérature comme acupuncture
Jean-Philippe Domecq
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurRobespierre, derniers temps Lorsque les historiens butent sur une énigme, sur l'apparemment incompréhensible - par exemple, comment et pourquoi, en Thermidor, Robespierre au faîte de sa puissance refuse de combattre l'offensive antiterroriste et se laisse si facilement abattre par ses opposants coalisés, cinquante jours après l'apothéose de la fête de l'Être suprême ? -, que peuvent leur apporter l'intuition de la littérature, les outils de la fiction, la grammaire du romanesque pour dénouer ce qui les retient, les empêche ? À cette question, Jean-Philippe Domecq, dans Robespierre, derniers temps et le texte inédit « La littérature comme acupuncture », répond de manière éclairante : quand la crise du pouvoir mêle éthique et mythes, la littérature fait preuve d'une plus grande clairvoyance introspective que l'historien rivé à ses archives. |
RésuméThermidor, Robespierre, au faîte de sa puissance, refuse de combattre l'offensive menée contre lui et se laisse abattre par ses opposants coalisés, cinquante jours après la fête de l'Etre suprême. L'essayiste et romancier J.-P. Domecq tente d'éclairer ce mystère dans cette biographie précédemment parue au Seuil en 1984, augmentée ici d'un texte inédit. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
17 février 2011
Collection(s)
Folio
Rayon
Révolution française
EAN
9782070320080
Nombre de pages
467
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
2.2
cm
Poids
250
g
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À propos de l'auteurJean-Philippe Domecq a choisi de s'effacer derrière son oeuvre et emprunté son pseudonyme à un personnage de Jorge Luis Borgès. Romancier passionné d'histoire, il est surtout essayiste et s'en est pris à la critique littéraire et artistique de façon parfois assez polémique. |