Un vague sentiment de perte
Andrzej Stasiuk
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur« Ma grand-mère habitait en Podlachie. Sa maisonnette ne se trouvait pas dans un village, mais dans ce que l'on appelait une "colonie" - des habitations paysannes éparses, séparées par des boqueteaux de trembles et des haies de vieux peupliers élancés. Au milieu d'un jardin fruitier. L'été, la fraîcheur s'y maintenait même en plein midi. Les pommiers étaient tous très vieux, imposants, leurs couronnes s'entrelaçaient en un royaume d'ombre éternelle. » Stasiuk se souvient ici de quatre êtres disparus auxquels il rend hommage avec une légèreté qui tient du paradoxe. L'histoire de sa grand-mère, ancrée dans une Pologne d'un autre temps, forme le début de ce livre - mais l'âme de cette merveilleuse conteuse, qui était capable de ressusciter les fantômes, imprègne chacun des quatre récits. C'est elle qui a légué à Stasiuk l'art de narrer, et c'est au fil des méandres de sa mémoire qu'il distille de précieuses réflexions existentielles. Oeuvre lumineuse, habitée, profonde, Un vague sentiment de perte est le pendant méditatif du roman picaresque autobiographique Pourquoi je suis devenu écrivain (Actes Sud, 2013). |
RésuméL'auteur raconte les vestiges d'une lointaine enfance, les moments vécus auprès d'une grand-mère conteuse, la maladie d'une chienne ou le dernier voyage avec un ami condamné. Récit de voyage dans les lointaines contrées du passé, cette oeuvre habitée, profonde, est le pendant méditatif du roman picaresque autobiographique Pourquoi je suis devenu écrivain. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
4 février 2015
Collection(s)
Lettres polonaises
Rayon
Littérature russe et de l’Europe de l'Est
Contributeur(s) Margot Carlier
(Traducteur) EAN
9782330037147
Nombre de pages
91
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
10.0
cm x
0.8
cm
Poids
76
g
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