Ce que dit l'éditeurÉrasme Éloge de la Folie et autres écrits Un rêve que l'on aimerait voir s'incarner : que, sous ces textes variés de l'humaniste hors pair que fut Érasme, précepteur de l'Europe de son temps, et comme surgissant d'eux, le lecteur d'aujourd'hui entende la voix même de l'homme, né Geert, « le Désiré », fils de Marguerite et de Gérard, vers la fin d'octobre 1467. À la recherche de cette voix, dans ces chapitres placés sous le signe de la défense et de l'illustration des « bonnes lettres », on a voulu montrer au sein même des discours théoriques les couleurs de l'affectivité. On verra ici Érasme apprécier les vins de Bourgogne et s'interroger sur l'éducation politique des princes, réfléchir sur la prononciation du latin et dénoncer les préjugés moralisateurs de l'enseignement médiéval, dans un dialogue constant avec autrui. Ainsi se précisent les différentes facettes d'un homme qui se révèle à la fois critique et éditeur, prosateur et poète, satiriste et théologien, voyageur et bon compagnon - prince des humanistes. |
RésuméComposée en 1509 et dédiée à Thomas More, cette oeuvre satirique qui moque les travers de l'Eglise, des théologiens et des philosophes, ne cherche pas la querelle, mais porte un regard amusé sur la folie des hommes qui leur est un baume. Avec un choix de textes de l'humaniste consacrés à l'art de vivre, la grammaire, l'écriture, la musique, l'éducation, etc. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
16 juillet 2010
Collection(s)
Folio
Rayon
Érasme de Rotterdam
Contributeur(s) Jean-Claude Margolin
(Editeur scientifique (ou intellectuel)), Franz Bierlaire
(Traducteur), Claude Blum
(Traducteur), Jean-Claude Margolin
(Traducteur) EAN
9782070339518
Nombre de pages
663
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
3.0
cm
Poids
324
g
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À propos de l'auteurErasme ou Erasme de Rotterdam où il est né vers 1466 a souvent été surnommé le prince des humanistes pour son insatiable appétit de connaissances, son attention à la langue et sa liberté d'esprit qui le rend, lui moine de Saint Augustin, critique de l'église catholique comme de la Réforme. |