In extremis : essai sur l'art et ses déterritorialisations depuis 1960
Thierry Davila
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa lettre volée In extremis. L'élargissement de la pratique artistique semble bien, et plus que jamais, caractériser l'état des choses dans l'univers aujourd'hui globalisé de l'industrie culturelle dont l'industrie de l'art n'est qu'un segment. On peut d'ailleurs parler aujourd'hui d'une déterritorialisation généralisée des pratiques artistiques les plus fécondes, celles qui se situent à la pointe extrême de l'apparition du sens, au plus près de son émergence et donc aussi au bord de sa dislocation possible, autrement dit et littéralement in extremis. Bien que souvent écrits au gré des circonstances diverses - commissariat d'exposition, conférence, recherche personnelle ou commande éditoriale - les textes réunis dans cet ouvrage prennent acte de cette situation. Nombre d'oeuvres étudiées ici - celles de Gerhard Richter, Fred Sandback, On Kawara, Jessica Stockholder, Erwin Wurm, Pierre Bismuth, Francis Alÿs - développent un effet, et pour elle-même, cette déterritorialisation plasticienne voire la plasticité de la déterritorialisation. |
RésuméL'élargissement de la pratique artistique semble, pour l'auteur, caractériser l'état des choses de l'univers globalisé de l'industrie culturelle. De Tisch, le premier tableau répertorié de G. Richter (1962) à des oeuvres plus récentes datant des années 2000, l'auteur s'essaie à regarder la spécificité de chacune de ces déterritorialisations aussi éloignées soient-elles les unes des autres. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
24 octobre 2009
Collection(s)
Essais
Rayon
Essais sur l'art : esthétique
EAN
9782873173487
Nombre de pages
237
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
15.0
cm x
1.6
cm
Poids
394
g
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