Sayonara monsieur Désespoir. Vol. 25

Ce que dit l'éditeur

Pas de répit pour notre professeur préféré ! Surtout pas pendant les fêtes : Halloween Shichi-go-san, Noël... Les élèves mettent le doigt sur les problèmes. Le burn-out le guette, il confond les jeunes filles avec des plantes ! Entre ses nouvelles responsabilités dans un club de l'école, les patates douces qui lui filent sous le nez et l'obsession du gouverneur de Tokyo pour les fils du bois, Nozomu est à bout ! Heureusement, un café suspendu l'attend. Enfin, pas sûr qu'il puisse le déguster tranquillement...

« Ô détresse, désolation, désespoir ! »

Les films du désespoir « cadre interdit »*

Un mangaka fraichement débarqué sur une nouvelle planète découvre avec stupeur que la majorité des mangas qui y sont publiés sont dessinés en pleine page, sans cases ! Bien sûr, il est plus simple de dessiner ainsi mais l'histoire perd en dynamisme ! Et puis, comment faire tenir un chapitre en seulement douze pages, comme le lui demande son éditeur ? Je réserve habituellement les textes des rabats de couverture aux jeux de mots et à la parodie mais il faut bien avouer que cette fois, je vous fais part d'un dilemme complexe. Le cadre est la norme... Il faut une bonne dose de courage pour en sortir !

Résumé des épisodes précédents

Prise d'une soudaine envie de visiter le pays, Nami se rend en train à Ashikawa, sur l'Île d'Hokkaïdô. Mais à peine arrivée, voilà qu'on la conduit à l'aéroport. Là, on lui explique qu'on va plutôt l'envoyer dans une ville qui lui correspond mieux. Ni une ni deux, elle se retrouve donc à « Normal » dans l'état de l'Illinois aux États-Unis. Persuadée d'être victime d'un malentendu, elle se rend à l'office du tourisme où le responsable lui répond que c'est dans l'ordre des choses puisque Ashikawa est jumelée avec Normal ! Notre lycéenne normale se retrouve ainsi seule dans un pays inconnu. L'intéressée est normale, la ville est Normal mais la situation ne l'est pas... Pourtant, Nami décide de faire contre mauvaise fortune bon coeur en visitant les environs. Elle se retrouve donc à Springfield. Un nom qui lui est familier et lui évoque bien des souvenirs... N'est-ce pas là que vit une famille toute jaune qui n'a pas grand-chose de normal ?!

*Référence au film américain de science-fiction
Planète interdite, sorti en 1956.