Souvenirs d'un traducteur
Edmond Tupja
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurComment peut-on être traducteur-interprète dans le pays hier le plus isolé et aujourd'hui le plus problématique d'Europe ? Sans avoir fait d'études de traduction mais fort de ses connaissances linguistiques et ayant la passion de la communication, Edmond Tupja traduit tour à tour pour le dictateur Enver Hoxha et le prince Norodom Sihanouk, pour certains dirigeants des Khmers rouges et autres personnalités communistes mineures ; c'était l'époque où il traduisait «comme on respire». Puis, après une pause de trois ans, il se remet à traduire «par nécessité», pour se réintroduire en quelque sorte dans son milieu intellectuel d'origine : il traduit les œuvres du dictateur. Après l'avènement de la démocratie, il traduit, cette fois «pour le plaisir», des auteurs naguère interdits chez lui, tels Proust, Sartre, Gracq et Tournier ; d'autre part il sert d'interprète à des personnalités majeures comme Bernard-Henri Lévy, René Monory, Jack Lang, Lionel Jospin et Bernard Kouchner. Ses souvenirs, écrits directement en français, fourmillent de détails souvent significatifs, racontés avec sérieux et humour à la fois, certes dans l'ordre chronologique, mais dans le sens de l'Histoire. |
RésuméL'auteur raconte ses expériences de traducteur-interprète en Albanie, d'abord au service du dictateur Enver Hoxha, du prince Norodom Sihanouk et de certains dirigeants des Khmers rouges, puis, avec la démocratie, au service des oeuvres d'auteurs français naguère interdits, et enfin au service de nombreuses personnalités françaises en visite dans son pays. ©Electre 2025 |
Caractéristiques EAN
9782747511445
Nombre de pages
248
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
1.4
cm
Poids
338
g
|