C'est moi, François
Edith Bruck
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurC'est moi, François En clôture du Pain perdu, poignant récit qui relate son expérience de la déportation, Edith Bruck a inséré une « Lettre à Dieu », pleine de force et de doutes : « Et si Tu voyais tout, si Tu étais tout, yeux, oreilles, comment n'as-Tu pas vu notre épreuve ? » Touché par cette lettre, le pape François demande à la rencontrer. Dès leur premier échange, une amitié très forte les lie. « C'est moi, François » : celui qui se présente par ces mots simples est remué par l'envergure humaine exceptionnelle d'Edith Bruck, et lui ouvre les bras. De ce dialogue très émouvant entre le chef de l'Église catholique et une déportée juive athée émerge une méditation sensible à propos des tragédies passées et actuelles, en Ukraine en particulier. Le pape, hanté par la culpabilité de sa communauté quant à la Shoah, répète ces mots : « Pardon, Seigneur, au nom de l'humanité. » |
RésuméAprès avoir lu la Lettre à Dieu, qui termine Le pain perdu, le pape François a souhaité rencontrer son auteure, E. Bruck. Cette dernière relate leurs échanges. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
29 mars 2024
Collection(s)
Points
Rayon
Les encycliques du pape François
Contributeur(s) René de Ceccatty
(Traducteur), François
(Préfacier) EAN
9791041415229
Nombre de pages
125
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
11.0
cm x
1.0
cm
Poids
90
g
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