Nucléus : ce qui reste, quand il n'y a plus rien
Zinaida Polimenova-Snel
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurSofia, 1952. Un groupe d'amis, ingénieurs et architectes, travaille à la construction d'une usine qui devra être le symbole de la modernité du pays. L'histoire commence quand le groupe part pour un échange en Allemagne de l'Est, fleuron industriel du bloc communiste. Parmi eux, Theodor, étroitement surveillé par le régime, se lie d'amitié avec Emil, fils d'un artiste allemand dont l'oeuvre est désormais interdite car jugée subversive. À son retour, Theodor est arrêté et déporté à Béléné, l'un des plus terribles camps du pays. L'amitié, l'amour et la force de résistance viendront-ils à bout de cette terrible épreuve ? À mi-mot, on commence à en entendre parler - la disparition de l'un, l'arrestation d'une autre, la déportation d'un troisième, avec toute sa famille, sans qu'on sache ce qui se passe concrètement avec les personnes ainsi volatilisées... Rien pourtant de spectaculaire, rien de visible. Dans la rue, c'est la paix. La ville vibre animée, les transports en commun circulent, les gens ont du travail, les femmes à égalité des hommes. Ce schisme entre vie ordinaire et destins bouleversés engendre en sourdine une inquiétude. Theodor sent le vertige d'une possible répression. |
RésuméBulgarie, années 1950. Etroitement surveillé par le régime, Theodor fait partie d'un groupe d'amis ingénieurs architectes qui travaille à la construction d'une usine vouée à devenir le symbole de la modernité du pays. Lors d'un voyage en Allemagne de l'Est, il se lie d'amitié avec Emil, fils d'un artiste dont l'oeuvre est interdite. A son retour, Theodor est arrêté et déporté au camp de Béléné. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
1 mars 2024
Rayon
Romans historiques
EAN
9782490356416
Nombre de pages
152
pages
Reliure
Broché
Dimensions
18.0
cm x
14.0
cm x
1.5
cm
Poids
192
g
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