La République planétaire : essai

Ce que dit l'éditeur

La République planétaire

Dans le précédent ouvrage Ad majorem G.O.D.F. Gloriam, l'auteur retraçait les 213 années écoulées entre le 17 février 1786 et le 17 mai 1999, autrement dit entre l'implication du Grand Orient de France au sein des valeurs du siècle des Lumières, en particulier celles de la République, et sa refondation, se réappropriant ainsi son héritage patrimonial.

C'est dans le droit fil de celui-ci, et dans sa détermination à l'assumer en se souvenant de la nuit du 4 août 1789, que le Grand Chapitre Général impulse aujourd'hui l'ambitieux projet de la libération des esprits et de l'émancipation des consciences. Cette démarche prend en compte une responsabilité individuelle et collective visant à réaliser l'harmonie des contraires dans le respect du contradictoire. En quelque sorte le rêve d'une capacité individuelle conjuguée à l'utilité commune.

Charles Porset, auteur notamment de la préface et de commentaires, apporte une importante contribution à cette démarche, et, en tant qu'historien reconnu, la cautionne.

Jacques Georges Plumet constate : « À l'heure où, dans un affrontement généralisé des civilisations, la guerre répond au terrorisme dans une spirale de moins en moins maîtrisée, où la laïcité n'a jamais été aussi violemment attaquée par les nouvelles formes de sectarismes idéologiques ou religieux, il appartient aux Franc-maçons de montrer l'exemple et de permettre à une Assemblée représentative des peuples issus des cinq continents de préparer l'avènement d'une Res Publica latitudinaire, autrement dit : la République Planétaire. »

Les utopies d'aujourd'hui seraient-elles les réalités de demain ?