1902 : Emile Cartailhac, le mea culpa d'un sceptique
Michel Barbaza
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe « mea culpa d'un sceptique », publié en 1902 à Toulouse par Émile Cartailhac, est l'acte de reconnaissance de l'art pariétal paléolithique. Avant cette date, il était admis que l'humanité préhistorique encore dans sa fraîcheur originelle ne pouvait concevoir de véritables sanctuaires tels que les suggérait l'ornementation monumentale de la caverne d'Altamira. En établissant la réalité de l'art préhistorique, Cartailhac a mis fin à une longue controverse scientifique et idéologique. Parmi de multiples approches envisageables, l'invention de la préhistoire constitue un révélateur pertinent sur le cheminement des idées entre dénis et avancées décisives ainsi que sur le progrès des connaissances au cours du XIXe siècle. |
RésuméEn 1902, Emile Cartailhac publie un texte dans lequel il reconnaît l'art pariétal paléolithique. Au XIXe siècle, il était admis que l'humanité préhistorique ne pouvait concevoir de sanctuaires ornementés comme ceux retrouvés dans la caverne d'Altamira. Cet écrit met fin à une longue controverse scientifique et idéologique. M. Barbaza analyse cet acte de contrition. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
2 mars 2022
Collection(s)
Cette année-là
Rayon
Arts généralités
EAN
9791093498805
Nombre de pages
46
pages
Reliure
Broché
Dimensions
17.0
cm x
10.0
cm x
0.5
cm
Poids
201
g
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