Singulier pluriel : cinquante courts métrages clandestins
Gil Pidoux
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurSavoureux portraits d'hommes, saisis au vol par le stylo vagabond d'un écrivain en maraude, sensuel et gourmand. De vrais gaillards, campés avec tout leur barda de signes inéluctablement distinctifs. Colorés à souhait, dont le moule est cassé. D'où singulier. Des bonshommes qui pétaradent de fausses notes, rivalisent de prétentions gauches, de tendresses rudes, de tics et de tact, de petite grandeur ou de grande petitesse, et d'autres qui débordent de vie contenue. D'où pluriel. Gil Pidoux aurait pu tourner sept fois sa plume dans sa poche et manquer l'essentiel. Ou encore développer ses sujets, pécher par excès de fioriture. Mais il a préféré capter la poésie disponible, brève par définition. Tranches de vie, séquences impromptues et taillées dans le vif de l'instant. Scénarios possibles, chapardés au coeur de la grande mise en scène de l'existence de chacun. D'où «courts métrages». Pour jeter ces regards sur la cour intérieure de nos pairs, Pidoux a travaillé comme un cinéaste tournerait sans prévenir, caméra sur l'épaule, à la sauvette. D'où clandestins. Cinquante «courts métrages» clandestins, chargés d'intelligence du coeur. Et gorgés d'une sève littéraire que l'on ne présente plus... |
RésuméCes poèmes en prose sont matière à des portraits d'hommes et des tranches de vie. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
23 mars 2005
Rayon
Poésie et théâtre
Contributeur(s) Marcel Laliberté
(Illustrateur) EAN
9782940251094
Nombre de pages
175
pages
Reliure
Broché
Dimensions
23.0
cm x
16.0
cm x
cm
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