Ordre relativement chronologique : la grande fermaille
Jeanne Hyvrard
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa pensée binaire ne peut prendre en compte une société fragmentée dont tous les jours des pans entiers basculent dans l'anéantissement. Ainsi se terminait la couverture de Minotaure en habit d'Arlequin publié il y a cinq ans par la même auteure, dans la même collection. Entre temps sous les coups de boutoir de la Révolution Cybernétique, la liquidation s'est achevée et l'ultra-libéralisme a laissé la matière vivante désemparée n'ayant plus comme repère qu'un Ordre relativement chronologique. La monade errante qu'on aurait autrefois appelée l'écrivain a néanmoins relevé le défi de décrire en tant que telle, sa propre disparition. Mais au lieu d'en terminer sur le dernier je dont Maurice Blanchot nous dit qu'il étonnera la mort, allant jusqu'au bout de la révolution copernicienne ontologique qui place désormais la Grande Machinerie au centre du monde et la matière humaine à sa périphérie, elle prend dans La Grande Fermaille le parti de la vie pour décrire le nouvel ordre en train de s'imposer. En vieux français la fermaille est le collier qui scellant le statut met un terme à la précarité. Elle est ici la métaphore du nouveau droit. |
RésuméDécrit le nouvel ordre mondial qui est en train de s'imposer, à savoir la grande machinerie au centre du monde et la matière humaine à sa périphérie. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
15 juin 2003
Collection(s)
Ecritures
Rayon
Romans français
EAN
9782747547871
Nombre de pages
142
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
14.0
cm x
0.8
cm
Poids
200
g
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