La jeune femme qui descend l'escalier : cratères littéraires
Jean-Paul Gavard-Perret
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa jeune femme qui descend l'escalier Sur le modèle de la Lettre à jeune poète de Rilke, ce livre s'appréhende comme une rencontre différée, une mutuelle invention plutôt qu'un soliloque - sinon à deux voix... Et une visée rédemptrice de celle à qui ce texte est adressé surgit. Par effet retour, elle glisse celui qui parle hors du rien. D'où ce paradoxal corps à corps dans le jeu des espaces d'un côté, et, de l'autre, la vulnérabilité paradoxale des mots au sein d'un « pas de deux » dans ces textes marqués par la danse donc par le corps. Le recours à l'éloignement n'est pas là pour offrir une version nouvelle du fétichisme de celui-là. L'écart créé éloigne des rapports humains contemporains qui s'évanouissent dans la consommation d'une chair provisoirement offerte. Il peut donc exister un goût clinique de l'amour bien fait, un goût du lisse qui forge une relation au sein de la distance. Elle n'est que la conscience aiguë d'un respect essentiel, un point de vie par effet d'empreintes des blessures afin que ces dernières s'effacent. |
RésuméUn texte à deux voix, rencontre différée entre deux personnages qui évoquent leurs blessures dans une visée rédemptrice. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
17 décembre 2008
Collection(s)
Le chant du cygne
Rayon
Romans français
EAN
9782849241011
Nombre de pages
52
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
13.0
cm x
0.5
cm
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