Des saisons plutôt claires
Philippe Longchamp
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurSi cette poésie nous retient par sa capacité à unir la solitude et l'amour, la ville et la nature, le personnel et le social, elle nous touche peut-être encore davantage par l'attention à l'autre dont elle témoigne. Il faudrait parler de fraternité si ce mot n'était pas trop lourd d'abstraction pour une poésie qui n'intellectualise pas, qui ne propose une réflexion qu'au rebond du poème. Mais il est remarquable de lire dans Parler bas, en 1975 : «Je parle bas/mais je parle de toi (...) Je parle bas/mais je parle de nous (...) Je parle bas/mais je parle de tous.» Et en écho, en 1989 : «Adossé à/du ciel marchant au-dessus des marées/dans les vols des oiseaux vers les falaises/marchant vers vous à la rencontre Alors/je peut-être Peut-être je tu ils» Yves Bonnefoy affirmait qu'il voulait «identifier poésie et espoir» : le «peut-être» de Philippe Longchamp me semble encore une lueur, quelque chose comme au moins une veilleuse, dans nos temps sombres. A. Émaz |
RésuméCes poèmes, couvrant la période de 1970 à 1990, abordent les thèmes du social, de la politique, de la culture et de la littérature. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
5 juin 2009
Collection(s)
Le dé bleu
Rayon
Poésie et théâtre
Contributeur(s) Antoine Emaz
(Préfacier) EAN
9782840312482
Nombre de pages
125
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
11.0
cm x
cm
Poids
150
g
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