Correspondance 1841 : la fondation des Diaconesses de Reuilly
Caroline Malvesin , Antoine Vermeil
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurOh ! Quelle joie, quel privilège, quel bonheur de pouvoir travailler ensemble à l'oeuvre de notre Dieu ! » Cette exclamation - prononcée par le pasteur Antoine Vermeil à Caroline Malvesin - est à l'origine de la fondation de la « Maison des Diaconesses de France », des « Soeurs de charité protestantes », devenue depuis La communauté des Diaconesses de Reuilly. La correspondance entre les deux, elle, la fondatrice et lui, le pasteur fondateur, est empreinte de cet esprit de joie. Leur échange commence le 6 février 1841 et se termine le 31 août de cette même année. S'y rencontrent deux personnes marquées dans toute leur existence par la foi en Jésus-Christ, Jésus-Christ solidaire des pauvres, deux esprits ouverts, prêts à surpasser les disputes dans lesquelles se perdaient les différentes orientations théologiques de l'époque, mais surtout deux disponibilités, deux disponibilités à agir et à entendre la voix qui leur montrait le chemin à prendre. C'est peut-être là aussi l'origine de cette joie : elle tient à la conviction que ce qui est à faire est nécessaire, elle se fonde sur une confiance, confiance en un appel. |
RésuméCorrespondance échangée de février à août 1841 entre la fondatrice et le pasteur fondateur de la Maison des diaconesses de France devenue par la suite la Communauté des diaconesses de Reuilly. Elle révèle deux personnalités marquées par la foi en Jésus-Christ et une solidarité envers les pauvres. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
19 novembre 2007
Rayon
Protestantisme : auteurs théologiens
Contributeur(s) Soeur Evangéline
(Préfacier), Hans-Christoph Askani
(Préfacier), Georges Leconte
(Commentateur de texte) EAN
9782915245936
Nombre de pages
230
pages
Reliure
Broché
Dimensions
24.0
cm x
16.0
cm x
1.7
cm
Poids
460
g
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