La perte de l'évidence humaine : phénoménologie de la relation en situations extrêmes
Agata Zielinski
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa perte de l'évidence humaine Phénoménologie de la relation en situations extrêmes Que se passe-t-il en nous face à la perte de l'évidence humaine, lorsque les attributs classiques de la personne humaine font défaut ? Les situations de non-communication, d'absence de réciprocité interrogent la définition de l'humain : qu'est-ce que rester ou cesser d'être humain ? La question de l'appartenance commune à l'humanité passe par l'interrogation sur le semblable, jusqu'à mettre au jour un paradoxe qui nous semble être la clef de la relation en situations extrêmes : une ressemblance qui s'impose et indispose, causant un effroi que l'on cherche à fuir Cette ressemblance, qui s'expérimente sur le mode d'une inquiétante étrangeté, renvoie à une historicité humaine primordiale, celle de la détresse initiale. Mais qui est mon semblable ? Celui dont je reconnais la proximité, et dont je peux me décider à m'approcher. La relation, capacité à se tenir proche, réouvre un monde commun. La phénoménologie de la relation en situations extrêmes permet d'esquisser une éthique de la « prochaineté ». |
RésuméUne réflexion sur ce qui définit l'être humain en situation extrême, dans des situations de non-communication. La capacité à établir une réciprocité, une relation avec son prochain, permet l'émergence d'un monde commun. La phénoménologie de cette relation dessine les contours d'une éthique du lien humain. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
28 octobre 2022
Collection(s)
Phénoménologie clinique
,
Glassine
Rayon
Philosophie contemporaine : auteurs
EAN
9791037019950
Nombre de pages
480
pages
Reliure
Broché
Dimensions
23.0
cm x
16.0
cm x
2.7
cm
Poids
705
g
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