Les pierres vertes
Charles Le Goffic
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurUne histoire de morgans et de sirènes, du folklore et pas très neuf, - mais il y a le «filigrane», le martyre, les sursauts de la douloureuse conscience irlandaise révulsée et incarnée dans ce grotesque Trompilh à la fois haïssable et pitoyable qui palpite, ombre confuse, sur un fond volontairement imprécis (tant il est mal supportable !) de torpillages et d'agonies collectives, sous-marines. Là où le professeur Max Lebeau, avec tout son savoir, reste quinaud ou prend le change, une «innocente», la sauvage et intuitive Floric Guichaoua, entre de plain pied, son chant du scalp à la bouche, dans l'âme de ce Quasimodo marin. Floric put-elle aimer vraiment un pareil magot ? Mais leurs amours tiennent si peu de place dans le roman jusqu'à la tragique péripétie finale ! Et la bosse et le boutoir de Trompilh étaient peut-être postiches : du moins rien n'empêche de le supposer et le tour même du récit y pousse. Voyez comme les choses s'arrangent aisément à la cantonade dans un roman où «le texte écrit n'est pas tout» et se double d'un texte rêvé : il n'est que de laisser faire au lecteur...» (extrait de la lettre-préface de Ch. Le Goffic). |
RésuméUne histoire de morgans et de sirènes en Bretagne. La sauvage et intuitive Floric Guichaoua entre, son chant de scalp à la bouche, dans l'âme de Trompilh, un Quasimodo marin. Floric peut-elle vraiment aimer un pareil magot ? ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
30 août 2013
Rayon
Romans historiques
Contributeur(s) Jean-André Le Gall
(Préfacier) EAN
9782824000039
Nombre de pages
109
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
15.0
cm x
cm
Poids
160
g
|