Le planteur de Malata : récit
Joseph Conrad
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeur« Elle se leva lentement, avança d'un pas, et s'arrêta pour regarder vers la côte. L'île noire occultait les étoiles de sa masse confuse, comme un nuage d'orage planant bas sur les eaux, prêt à éclater en flammes et en craquements. - Ainsi - c'est Malata, répéta-t-elle d'une voix rêveuse, se dirigeant vers la porte de la cabine. Le manteau clair tombant de ses épaules, son visage d'ivoire - car la nuit avait tout effacé d'elle sauf les reflets de ses cheveux - la faisaient ressembler à une femme de rêve resplendissante prononçant des propos de froide inquisition. Elle disparut sans un geste. [...] Le moment de l'aveu était-il arrivé ? Cette pensée suffisait à glacer le sang. » Malata, comptoir colonial du jeune et ambitieux Renouard. Malata qu'il a quitté pour affaires, et où il revient en compagnie du Pr Moorsom et de sa fille. Malata où la vérité les attend. Car Miss Moorsom espère retrouver trace de l'homme qu'elle aime - un fugitif sur lequel Renouard en sait beaucoup plus qu'il ne veut le laisser paraître. Mais Renouard peut-il vraiment l'avouer à Miss Moorsom, comme l'amour impossible qu'il lui porte ? |
RésuméGeoffrey Renouard est un jeune planteur à qui le vieux Dinster vient d'accorder une concession sur l'île de Malata. Lors d'une réception, il fait la connaissance de la fille du professeur Moorsom. Les Moorsom sont à la recherche d'un certain Arthur, fiancé à leur fille. Renouard, bien qu'amoureux de la jeune femme, sait que cet homme qui fut son assistant, est mort et enterré à Malata. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
10 mars 2010
Collection(s)
Littératures
Rayon
Littérature anglaise
Contributeur(s) Odette Lamolle
(Traducteur), Robert Davreu
(Postfacier) EAN
9782746713635
Nombre de pages
140
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
15.0
cm x
1.0
cm
Poids
184
g
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À propos de l'auteurJoseph Conrad, écrivain d'origine polonaise naturalisé anglais, a mené une carrière de marin avant de devenir un des plus grands écrivains de langue anglaise de la première moitié du XXème siècle. C'est André Gide qui le fit connaître au public français, après avoir traduit lui-même Typhon. |