La coupe d'or
Henry James
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa coupe d or Au début des années 1900, au coeur de l'été londonien, le destin d'Amerigo, prince italien désargenté, vient d'être scellé. Il a épousé Maggie Verver, la fille d'un riche collectionneur et homme d'affaires américain, laquelle persuade son veuf de père de prendre une amie à elle, Charlotte Stant, pour épouse. Maggie ignore que Charlotte et Amerigo étaient autrefois liés et qu'elle vient d'orchestrer leur rapprochement. Quand un antiquaire, chez qui les amants ont admiré une coupe d'or, l'aide à reconstruire la vérité, Maggie se décide à réagir... Sous la plume aiguisée de l'auteur, les quatre protagonistes vont dès lors se révéler dans tous leurs paradoxes. Réflexion sur le mariage, l'adultère, le mensonge, reflet d'un monde brillant mais fragile, La Coupe d'or est le point culminant de l'oeuvre romanesque d'Henry James. « La Coupe d'or, dernière grande oeuvre de James, marque l'apogée de son talent, à la fois comme romancier et comme styliste. »
|
RésuméLe banquier américain Adam Verver parcourt l'Europe en compagnie de sa fille Maggie à la recherche d'oeuvres d'art. Il offre la main de cette dernière au prince italien Amerigo. Peu avant le mariage, ce dernier retrouve à Londres son ancienne maîtresse, Charlotte. Celle-ci veut offrir à la future épouse une coupe de cristal, mais Amerigo refuse car l'objet comporte une fêlure de mauvais augure. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
8 septembre 2016
Collection(s)
Pavillons poche
Rayon
Littérature anglaise
Contributeur(s) EAN
9782221193181
Nombre de pages
621
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
13.0
cm x
2.9
cm
Poids
392
g
|
À propos de l'auteurHenry James, américain installé en Europe, écrivain majeur de son temps, a ouvert la voie aux romanciers du XXè siècle par un renouvellement du point de vue narratif : au lieu d'un narrateur omniscient , un personnage central dont le lecteur partage le monologue intérieur, technique dont Proust ou Virginia Woolf se souviendront. |