La nation nommée Roman face aux histoires nationales
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLa Nation nommée Roman Face aux histoires nationales La formule provocante de Carlos Fuentes proclamant les romanciers du monde entier « citoyens de la nation nommée Roman » dit la volonté - partagée par maint écrivain depuis 1960 - d'en finir avec les définitions nationales de la littérature et leur passé de luttes, de domination et d'exclusion. C'est dans son « autonomie » vis-à-vis des histoires nationales que la fiction romanesque puiserait sa force spécifique de résistance à la violence des idéologies. Mais ce sont les remous des histoires nationales qui modèlent ces romanciers - migrants, dissidents, minoritaires - écrivant contre elles. Peut-être « l'universel » en littérature reste-t-il, envers et contre la mondialisation marchande, ce « local moins les murs » dont parlait Miguel Torga. |
RésuméEn proclamant les romanciers du monde entier "citoyens de la nation nommée Roman", C. Fuentes dit la volonté, commune à tant d'écrivains depuis 1960, d'en finir avec les définitions nationales de la littérature. L'universel en littérature est ici questionné : s'il est un projet, ce sont pourtant les remous des histoires nationales qui modèlent ces romanciers écrivant contre elles. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Éditeur(s) Date de parution
21 décembre 2011
Collection(s)
Rencontres
Rayon
Littérature généralités
Contributeur(s) Danielle Perrot-Corpet
(Directeur de publication), Lise Gauvin
(Directeur de publication) EAN
9782812403422
Nombre de pages
428
pages
Reliure
Broché
Dimensions
22.0
cm x
15.0
cm x
2.2
cm
Poids
590
g
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