Terrain, n° 68. L'emprise des sons

Ce que dit l'éditeur

Terrain se lit aussi sur le web !

Retrouvez-y l'ensemble de la collection, soit 67 numéros en accès libre (« Rires », « L'imaginaire écologique », « Catastrophes », « Transmettre », « Les morts utiles », « Renaître », « Jouir ? »...).

Et surtout de nouvelles rubriques à découvrir :

• « Terrains » : études inédites de cas ou de situations, amenant le lecteur à découvrir par l'empirie l'importance des questions théoriques convoquées, toutes disciplines des sciences humaines confondues ;
• « Questions » : idées reçues, fausses évidences, doutes fréquents ou notions contre-intuitives sont adressés, sous la forme d'une question simple, à un spécialiste qui en déjoue les pièges, dresse l'état de l'art et présente ses enjeux actuels ;
• « Portraits » : portraits de celles et ceux qui font ou ont fait les sciences humaines, sous des formats divers (entretien, récit personnel, vidéo, photographie, analyse de documents et d'oeuvres) ;
• « Glissements de terrain » : des spécialistes sont invités à commenter romans, polars, films, pièces de théâtre... portant sur des terrains ou des thèmes qui leur sont familiers ;
• « Lectures et débats » : pour attiser les controverses, une confrontation de plusieurs points de vue sur une problématique, un article ou un ouvrage.

L'emprise des sons

Terrain 68

La musique jouit en apparence de toutes les vertus.

Sociologues, musicologues et neuroscientifiques ont montré ses bienfaits pour calmer les douleurs, apaiser les âmes et les rapports sociaux.

On oublie de dire que les remèdes les plus puissants sont souvent aussi les plus dangereux...

Sans délaisser l'étude des good vibes, ce numéro entend donc les mettre en regard avec les mauvaises ondes, celles qui tuent ou torturent : chants qui font brûler de rage le futur homicide en Éthiopie, souffrances du heavy metal...

En jeu, saisir l'efficacité de structures musicales qui méritent parfois peut-être, car elles échappent à leur auteur, le nom d'êtres sonores.