La République prend le maquis
Jean-Pierre Chevènement , Robert Colonna d'Istria
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurLe 15 mai 2001, à l'Assemblée nationale, Jean-Pierre Chevènement interpellait vigoureusement les députés lors du débat sur le projet de loi relatif à la Corse. En désaccord avec le gouvernement Jospin sur l'évolution des tractations, il avait démissionné en septembre 2000. L'ouvrage reproduit son discours, remarquable morceau de bravoure politique qui détone dans le consensuel climat de renoncement actuel : selon lui, les accords de Matignon constituent un bricolage institutionnel qui non seulement entraînera la République «dans un engrenage mortel», destiné à «satisfaire les exigences indépendantistes», mais aussi livrera la Corse à des intérêts peu transparents. Car il est encore temps de mettre un terme à une trop longue dérive de la Corse et à l'abdication de l'Etat français devant les problèmes récurrents de l'île. Robert Colonna fustige l'attitude de celui-ci, qui les considère avec fatalité et imagine comme remèdes milliards de francs débloqués et pouvoirs délégués. Un autre traitement est possible. |
RésuméContient le discours du 15 mai 2001 où le ministre s'opposa vigoureusement au projet de loi relatif à la Corse. Complété par le document d'orientation sur la Corse remis au Premier ministre et par une analyse de l'historien R. Colonna d'Istria. ©Electre 2025 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
12 septembre 2001
Collection(s)
Essai
Rayon
Poche
EAN
9782842056322
Nombre de pages
131
pages
Reliure
Broché
Dimensions
19.0
cm x
13.0
cm x
1.3
cm
Poids
190
g
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