Economie du droit. Vol. 2. Les personnes et les choses
Philippe Simonnot
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurL'économie mondiale est à la recherche d'une régulation. Pourrait-elle la trouver dans le droit romain ancien, qui a fécondé la première mondialisation et assuré son succès économique ? Oui, répond Philippe Simonnot dans le second tome de son Économie du droit. En fait, la remontée de sève du droit romain date de la Révolution française, et on la retrouve dans l'actualité la plus brûlante concernant l'immigration, la bioéthique, le droit du travail, le droit de la famille, le droit pénal, entre autres. Cette remontée a une raison toute simple : le droit romain est efficient au sens économique du terme. Le plus étonnant est que l'on retrouve cette efficience dans le Nouveau Testament. Dans L'Invention de l'État, premier tome de l'Économie du droit, Philippe Simonnot avait présenté les outils que l'économiste utilise pour analyser le droit, puis montré comment fut inventé le premier mode d'exploitation de l'homme par l'homme, à savoir l'État. Dans ce deuxième tome, l'auteur observe qu'il n'y a pas de solution de continuité entre l'esclavage et le salariat et que la distinction entre les personnes et les choses, inventée par le droit romain, continue à faire problème. |
RésuméL'auteur reprend la summa divisio du droit romain sur les personnes et les choses pour critiquer les fondations du droit de propriété actuel et les autres branches du droit qui en découlent. ©Electre 2024 |
Caractéristiques EAN
9782251442730
Nombre de pages
428
pages
Reliure
Broché
Dimensions
21.0
cm x
14.0
cm x
3.0
cm
Poids
486
g
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