Psaumes de tous mes temps : textes nouveaux
Patrice de La Tour Du Pin
Versailles, Lyon 2ᵉ, Lyon 6ᵉ...
Ce que dit l'éditeurPsaumes de tous mes temps Célébré à 22 ans comme prince de la poésie après la publication de La Quête de Joie en 1933, Patrice de La Tour du Pin écrit, dans le secret de sa prière quotidienne, des psaumes qu'il publie dès 1938 chez Gallimard. Tout au long d'une existence vouée à l'écriture, il prie un crayon à la main, semant dans les trois « jeux » de sa Somme de poésie ces poèmes très simples où il parle à Dieu « en familier », dans la plus pure tradition biblique. Ces psaumes contrastent avec la poésie lyrique et épique qu'il développe dans une oeuvre foisonnante. Le choix d'une écriture très naturelle laisse la place à la voix singulière d'un homme habité par la présence de Dieu et toujours en recherche, comme le psalmiste biblique : « Je me souviens que tu m'as dit : Cherchez ma face. » Les quatre-vingt-dix psaumes réunis par le poète en 1974 sont une belle école de prière. Ils permettent aussi d'entrer par la petite porte, la porte du coeur, dans le monument littéraire qu'est Une Somme de poésie. Ils réalisent le voeu que le jeune homme exprimait au seuil de son existence : « Voici que j'ai rêvé d'écrire la grande prière de l'Homme de ce temps. [...] Ma plus intime liturgie voudrait être la plus intime de chacun. » |
RésuméL'auteur a remanié et rassemblé dans ce recueil 90 psaumes qui, pendant trente ans, ont marqué son parcours spirituel. ©Electre 2024 |
Caractéristiques Auteur(s) Éditeur(s) Date de parution
13 septembre 2018
Rayon
Spiritualité par auteurs de L à M
Contributeur(s) Isabelle Renaud-Chamska
(Postfacier), François-Xavier Durye
(Préfacier) EAN
9782706716997
Nombre de pages
156
pages
Reliure
Broché
Dimensions
20.0
cm x
13.0
cm x
1.3
cm
Poids
192
g
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À propos de l'auteurPatrice de la Tour du Pin est un poète catholique qui, outre les recueils de poésie salués par ses contemporains, a participé à la traduction française de la messe et des textes bibliques après la décision prise par Vatican II d'utiliser la langue vernaculaire. |